Le mois de mai qui arrive verra l’indus conceptuel de Laibach sévir en terre francophone pour trois dates à ne pas manquer (Bulle en Suisse le 7/5, Paris le 8/5 et Lille le 9/5).
Un peu plus tard dans le mois, c’est l’émir de Küstendorf, le célèbre Kusturica que l’on pourra retrouver au milieu des robes de soirées, des costards et des soirées caviar-coke du festival de Cannes, où il présidera la section « Un certain Regard ».
Ces deux événements n’ont à priori rien à voir et incarnent même à tout point de vue des univers opposés. Ils sont pourtant forts intéressants à juxtaposer :
En dépit de leurs différences radicales, Laibach et Kusturica sont deux aspects, deux visages, de la « pop culture » yougoslave, et deux de ses produits les plus reconnus à l’exportation. Outre ce point commun, un lien très particulier les rapproche : leur rapport, ambiguë, aux idéologies qui ont précipité leur pays dans le chaos.
Un peu plus tard dans le mois, c’est l’émir de Küstendorf, le célèbre Kusturica que l’on pourra retrouver au milieu des robes de soirées, des costards et des soirées caviar-coke du festival de Cannes, où il présidera la section « Un certain Regard ».
Ces deux événements n’ont à priori rien à voir et incarnent même à tout point de vue des univers opposés. Ils sont pourtant forts intéressants à juxtaposer :
En dépit de leurs différences radicales, Laibach et Kusturica sont deux aspects, deux visages, de la « pop culture » yougoslave, et deux de ses produits les plus reconnus à l’exportation. Outre ce point commun, un lien très particulier les rapproche : leur rapport, ambiguë, aux idéologies qui ont précipité leur pays dans le chaos.